Démontage Farymann sur 1050D

Si, si, tu l'as dit !

Bonjour a tous

Pour revenir au serrage de la culasse quelques precisions pour toi JEAN .La difference entre le moteur MWM et le DEUTZ est que le moteur MWM est monté avec un joint de culasse en cuivre qui peut supporter un leger defaut de serrage alors que le DEUTZ fl 912 n a pas de joint de culasse , l etancheité se fait simplement par le bon ajustage du cylindre et de la culasse que je realise par rodage d ou l importance du serrage angulaire

A+ BERNARD

Bonjour Bernard,

Merci pour ces précisions. Tout ça a l'air bien logique et j'aime ce qui est logique. Logique !
Effectivement sans joint, le rodage doit être parfait.

Je pense qu'avec un serrage un peu plus fort que pour mon 1er joint, ça devrait s'arranger.

Bonne journée, Jean

Bonjour

Jean le joint cuivre, il est recuit ?

Salut Thierry,

Le 1er était déjà recuit, je l'ai découpé dans une plaque de recuit et je l'ai même rerecuit.
Le 2ème aussi est recuit d'origine : découpé dans une plaque de recuit par mon fournisseur :



Mais celui-là, je ne l'ai pas "re"recuit

Je suis intéressé par le joint de culasse du Farryman, Jean. (J’ai cassé le mien sur un générateur de voilier…). Pouvez vous me donner ses dimensions ? (Ext, int, ep.)? Merci beaucoup. Olivier

le mecanologue a écrit:Bonjour a tous

Pour revenir au serrage de la culasse quelques precisions pour toi JEAN .La difference entre le moteur MWM et le DEUTZ est que le moteur MWM est monté avec un joint de culasse en cuivre qui peut supporter un leger defaut de serrage alors que le DEUTZ  fl 912 n a pas de joint de culasse , l etancheité se fait simplement par le bon ajustage du cylindre et de la culasse que je realise par rodage d ou l importance du serrage angulaire

A+  BERNARD

Bonsoir à tous,

Est-on sûr qu'il faille du serrage triangulaire ? on est sur une vieille méthode je crois , non ?
Il date de quand le moteur ?
Avant de décider de faire un ajustage ou rodage, certains disent aussi blanchir, je pense qu'il est bon de préciser certains points que l'on trouve dans des docs anciens.

Pour le serrage sur joint cuivre (joint tendre se marquant facilement) :
Il faut s'assurer que les surfaces soient propres et justement sans défaut visible ou sensible sous le doigt.
il faut procéder par étapes de pré-serrage avec des valeurs progressives avant le dernier serrage définitif.
Il faut aussi respecter l'ordre de serrage pour chaque vis.
A défaut de documentation, on peut s'inspirer des veilles revues sur les automobiles avec moteurs à 2 ou 3 cylindres.
Je ne suis pas d'accord avec le fait de dire que le joint peut supporter des défauts de serrage.
Chaque vis doit pouvoir librement aller dans son taraudage jusqu'au fond sans jamais présenter des points durs.
Il faut impérativement soigner la régularité du serrage, tout points durs au cours du vissage se traduit par une réduction de la valeur du serrage.

A chaque couple de serrage plus faible que son voisin, le cuivre peut à la longue fluer, ou se déplacer et créer une fuite.

Pour les culasses sans joint, il faut s'assurer que les surfaces soient propres et non déformées.
La planéité est requise sur la culasse comme sur le dessus du cylindre.
Mais, il y a quand même un mais, une culasse vrillée peut être remonté si celle-ci est vrille régulièrement avec de faible valeur. Ce ne sera pas le cas avec un joint en cuivre.